Témoignages sur le caractère du chat Bombay


Dans cette pages nous donnerons la parole à ceux qui qui voudront bien nous adresser leurs témoignages et leurs expériences de vie avec un chat qu'il soit de race Bombay ou d'une autre race. Qu'ils nous racontent leurs joies et leurs bonheurs et tout et tout ! Alors, si vous voulez écrire pour chanter les louanges de votre chat, lui faire une déclaration ou tout simplement nous raconter votre expérience : ces pages sont à vous !

Le témoignage de Régine concernant l'arrivée d'un deuxième chat chez elle

Chat Bombay, Caspia et sa maman Beluga L'arrivée de Caspia (une fille de Beluga et de Caviar), trois années après celle de mon premier chat Bombay Venom, a été tout aussi émouvante ; Caspia était très menue malgré ses quatre mois sonnés et lorsque je l'ai sortie de sa cage et présenté au gros Venom, c'est elle, « le petit crapaud » qui s'est mis à grogner et cracher sous le regard pourtant placide de Venom. C'est le monde à l'envers !

La petite chatte, à peine décontenancée, a fait le tour du propriétaire et s'est installée, comme par hasard, sur la cafetière, place favorite de Venom. Désormais, ils y sont deux, un peu à l'étroit.

Depuis son arrivée, la maison est plus qu'animée ; de temps en temps, on entend des cavalcades, les deux énergumènes se poursuivant, les tapis valdinguent… Ils se planquent en dandinant le derrière puis se sautent dessus ; dix minutes après, je les retrouvent dans le lit de Venom, le grand ayant posé une patte protectrice sur les épaules de la petite et semblant l'aimer très fort. C'est un perpétuel jeu entre rivalité et amour.

Chat Bombay, Caspia Maintenant qu'ils sont deux, ils semblent moins dépendre de moi et je pars plus tranquille. Ils ne s'ennuient pas en mon absence. Caspia adore regarder par la fenêtre de la cuisine. Elle se perche sur un objet sur la table et delà, a un poste d'observation tout à fait satisfaisant ; elle peut guetter les oiseaux qui viennent picorer dans le jardin ou se percher dans le prunier ; dehors, c'est beaucoup plus intéressant que dedans, cela bouge en permanence et les oiseaux passent en la provocant. Elle aime encore plus sortir mais, trop téméraire, elle s'enfuit chez les voisins, monte aux arbres, s'écorche en voulant redescendre et cela se termine chez le veto ! Du coup, elle n'a plus trop le droit de sortir.

Autre épisode épique : les premières chaleurs de Caspia. Heureusement qu'ils sont deux. Caspia prend des poses provocante devant Venom en nous offrant un concert de miaulements ; le pauvre Venom, bien que castré, fait son maximum pour satisfaire notre excitée. Je n'ai pas encore eu de plaintes des voisins mais cela pourrait bien arriver.

Que ferais-je sans mes petits protégés à quatre pattes ! La maison est la leur et maintenant, c'est moi qui habite chez mes chats. Ils m'ont apporté le bonheur et la gaîté et c'est très bien ainsi. Non seulement, ils ne sont pas jaloux l'un de l'autre mais ne cessent de jouer ou se battre ensemble à tel point que je n'existe plus ! C'est tellement plus amusant d'être deux !

Le témoignage de Marlène du Clos

Photo de l'anniversaire de Canaille le Chat Bombay de Marléne Voici l'histoire de Canaille, notre chien-chat Bombay. (premier épisode)

Depuis l'arrivée de canaille le fil de Beluga et le petit fils de Vanille au sein de notre foyer, nous n'avons que du plaisir, de la tendresse, de la joie. Vous avez pu le voir sur votre site préféré dans les bras (pardon ! dans les mains de son éleveur, à un mois à peine.

Je l'ai regardé et j'en suis tombée amoureuse, j'ai eu de la chance, je voulais un mâle et il n'y en avait qu'un (avec quatre sœurs). La maman Beluga (une vraie princesse, magnifique, et le papa Caviar superbe lui aussi, ne pouvaient à eux deux, ne faire qu'une beauté.

Canaille a eu un an le 7 decembre 2008, je suis allée le chercher à Paris à l'âge de 3 mois. Je revenais d'un voyage en Chine et ne pouvais le prendre avant (très tentée tout de même mais irréalisable).

Dès son arrivée dans notre maison du sud, il est descendu de son sac de transport et a fait le tour de la maison, pas affolé du tout. Nous avions tout acheté : litière, croquettes, maison (pour ses griffes), etc. rien n'était trop beau pour lui. Peu de temps après, une fois son appétit apaisé, il est entré directement dans sa petite maison litière, aucun souci depuis. Je lui avais également préparé un petit lit avec un carton et une petite couverture, pensant qu'il s'en contenterait mais non, il est monté dans notre lit et, depuis le premier jour, tous les soirs, il vient s'endormir contre son maître mais le matin je le retrouve complètement recroquevillé dans le creux de mon dos, quand ce n'est pas dans le creux de mon épaule.

Jamais je n'ai vu un chat sociable et câlin comme lui, de plus, il joue très souvent avec moi (ou son maître) à se cacher sous une pile de journeaux dans la corbeille à papier et s'endort ou dans un casque (nous faisons de la moto). Il adore la compagnie et toutes mes copines se battent pour le garder quand nous nous absentons, il est tellement attachant.

De plus, il est très beau, comme la plupart des Bombay et je ne me lasse pas de le caresser quand il se met en boule sur moi lorsque je suis à mon bureau.

Bon, je pourrais continuer pendant des heures à parler de Canaille (son prénom vient de la personne qui me l'a offert, devenu un ami depuis) a bien choisi car il lui correspond véritablement. Nous voulions l'appeler Chat Bal, ç'eut été dommage, non ?

Voici quelques photos de notre Canaillou (j'espère que vous avez vu la petite vidéo de Canaille que mon ami a mis sur le site à mon insu, ça vous en dira plus long sur lui.

Voir la vidéo de la naissance de canaille et de canaille chat/chien

A très bientôt,

Marlène du Clos


Vivre avec un Bombay le témoignage de Georgette

Photo de Brunhio le chat Bombay de Georgette Race peu connue dans mon Quercy natal où les chats sont présents dans beaucoup de maisons, mais dans toutes les villes et villages, il y a trop de chats vagabonds.
Ici, la robe tricolore des chats européens est recherchée et dénommée « Isabelle ».

A la maison, lorsque Brunhio (1) est arrivé, deux autres chats croisés siamois l'ont très bien accueilli.
La maison comprend quatre niveaux, une grande terrasse avec bambous, bassin, poissons, des toits très accessibles, deux terrasses voisines. C'est Brunhio qui va le plus haut et le plus loin. Si les deux autres chats restent craintifs et n'entrent pas chez la voisine qui me certifie que lui aussi respecte le pas de sa porte, il ne manque jamais de prendre contact avec chaque visiteur, d'être toujours présent à l'ouverture d'une boîte, à la préparation du bricolage…etc.
La porte d'entrée ouverte intéresse toujours Brunhio. On peut le voir caché, attendant l'instant propice pour sortir dehors sur le trottoir. Je sais qu'il reviendra mais il y a le double risque de la route et d'être emporté par un passant le trouvant si confiant.
A l'intérieur, il visite les étagères de la bibliothèque, est entré dans la pendule lorsque cela lui a été possible, dans le buffet et les placards, dans la machine à laver le linge…
C'est lui seul qui vient prendre la meilleure place sur les genoux même si celle-ci est occupée par un autre. Il s'y place, se couche en douceur, pousse de son poids l'autre chat qui cède toujours. Il sait aussi se lover avec les autres.
Il a sa façon bien à lui de demander de « vrais câlins » à certains moments. Il sait ouvrir les sachets de croquettes.

Les amoureux des chats remarquent ses grands yeux jaunes cuivrés, son attitude affectueuse avec tous, sa présence, son activité, sa façon rigolote, détendue de s'installer pour dormir.

Dernièrement, une quatrième est venue (mon fils à la suite de son déménagement m'a confié sa chatte). Elle a de très longs poils (croisée persane) et est de bonne taille.
Ce n'est pas Brunhio qui l'a le moins bien accueillie mais la petite chatte. J'ai pu remarquer à un moment donné, une certaine coalition des trois chats contre Mi- Mi, réfugiée sous le buffet.

Vivant depuis toujours avec des chats, je puis dire que chaque chat a sa personnalité. Il en est qui ne peuvent se faire oublier pour certains traits, certaines habitudes… mais le Bombay (enfin le mien) est un chat qui montre sa joie de vivre, qui communique beaucoup, très décidé, sans problème, participe à la vie de la maison, s'adapte bien aux visites, aux nouvelles situations. Il aime les chats de la maison qui l'ont précédé (je n'ai pas assez de recul pour la quatrième), il sait aussi à l'occasion chasser un papillon, un pigeon.
C'est un chat qui se laisse manipuler avec une réelle confiance mais qui n'est pas très patient à l'immobilisation ; on ne peut que lui rendre de l'affection.

(1) Brunhio est un fils de Vanille auquel est dédié ce site


Le témoignage de Manou

Chat Bombay J'ai vécu durant 16 ans en compagnie d'un Bombay que j'avais tout d'abord appelé Bela Lugosi, mais que j'ai fini par prénommer BB tellement il s'est avéré être exceptionnellement doux et futé. J'ai rencontré BB en pleine nuit dans une rue du Marais à Paris. Une minuscule boule de poils noirs qui slalomait entre les voitures en miaulant. Il avait du s'échapper car je n'ai découvert sa race qu'une fois chez le vétérinaire. Je l'ai pris dans mes bras et il s'est automatiquement lové dans mon cou. Après avoir vérifié qu'il n'était pas tatoué, je l'ai emmené chez moi. Dès son arrivée, il a immédiatement ouvert le réfrigérateur et s'est servi lui-même (un fromage ail et fines herbes) ! Cela n'était qu'un début ! Véritable génie, BB ouvrait aussi le micro-ondes, les placards et les sacs des invités ! Il était très sociable et participait à la vie de la maison comme une personne à part entière. Il attendait que j'aille au lit pour se coucher et ne concevait pas de se trouver dans une autre pièce lorsque je n'y étais pas. Je suis écrivain (1) et peux vous dire que le Bombay est un chat d'écrivain idéal car il m'assistait dans mon travail, assis sur un tabouret tam-tam, l'air très concentré, à la façon d'une statuette de Bastet. Séducteur professionnel, il a réussi à faire chavirer les coeurs de certains de mes amis qui n'aimaient soit-disant pas les chats et n'a jamais fait tousser le moindre allergique. La phrase récurrente de ceux qui l'ont croisé était : "Ce n'est pas un chat...!"

Son décès m'a littéralement effondrée et mon entourage l'a pleuré comme on pleure un ami humain.
Je lui ai écrit ceci : "Mon amour est un chat noir d'ébène qui sent le chaud, le vivant, la sécurité. Ses iris d'un or indifférent reflètent l'intelligence que tant d'autres chats et d'êtres humains n'ont pas. Il est mon familier, comme l'entendent les sorcières, mon petit prince obscur et si lumineux. Il est mon unique coup de foudre réciproque. Mon ange gardien dont je suis la gardienne. Ma famille à lui tout seul. Il n'est ni mon fils ni mon amant. Il est ma foi. D'autres croient en un dieu, moi j'ai mon bijou en poils, ma bouillotte merveilleuse et sacrée, ma petite chose noire qui me protège. Mon miracle, mon monument de poésie. Le velours de sa patte, sa petite tête qui se lève à mon approche, sa moue interrogative… Que j'aimerais parler chat ! Voilà la langue qui me manque. Une langue qui ne saurait mentir. La langue-de-chat. Je n'ai pas honte. D'autres que moi ont ressenti cela avec leurs semblables. Qui du chat ou de l'écrivain tient la plume ? Baudelaire a-t-il vraiment écrit seul ? Dans le regard de qui a-t-il plongé sans regret pour avoir le courage de s'épandre en tant de vers félins ? À qui parlait Colette ? Qui les pharaons invitaient-ils jusqu'au plus profond de leur propre tombe ? Sont-ce là des illuminés ?".

Incapable de vivre sans chat, j'ai décidé d'adopter un chaton (qui se prénomme Caviar), mais n'ai pu me résoudre à choisir une autre race que le Bombay. Le Bombay est un chat tellement magique et "spécial" que je ne m'imaginais pas vivre avec un chat "normal". Il est d'une intelligence hallucinante, tendre et d'une beauté sans égale. Il n'a aucun défaut. Jusqu'à ce miaulement si caractéristique, grave et un peu rauque (chanterait-il le blues tel un Tom Waits ?). Affirmer qu'il ne s'entend pas avec ses congénères est totalement faux. Le Bombay accepte avec joie la venue d'un nouveau chat sous son toit et même les chiens. Il faut juste que sa dose de câlins n'en pâtisse pas. Il a même accepté mon conjoint, lequel est pourtant arrivé bien après lui ! ;o))

A tous ceux qui ne connaissent pas le Bombay, je dirais juste ceci : le Bombay n'est effectivement pas un chat. C'est un joyau !

Manou Chintesco

www.chintesco.com
(1) Manou est notamment l'auteur du roman « Les Compagnons d'Hela »

Le témoignage de Régine


Photo de Venom le chat Bombay de Régine La venue d'un chat a toujours été pour moi une source de bonheur très grand et un souvenir émouvant.
Lorsque je suis allée chercher mon petit Venom à Troyes, il y a déjà quatre ans ! et que je l'ai ramené à la maison et lâché dans l'appartement, j'étais très émue. Lui aussi. C'était la première fois qu'il quittait sa mère et, malgré ses presque quatre mois et qu'il ait déjà participé à un concours de beauté à Auxerre où il a obtenu un compliment sur la couleur de ses yeux cuivrée et remarquable, il était un peu perdu et après avoir inspecté timidement les lieux, il est revenu vers moi et ne quittait plus mes jupes.

Néanmoins, dès le premier jour, mon petit Venom a repéré deux endroits intéressants :

- Le premier, c'est la cafetière qu'il a tout de suite investie. Le dessus de la machine est plat, suffisamment large pour qu'il s'y recroqueville et c'est chaud !
- Le deuxième lieu favori est la planche au-dessus du radiateur de la chambre, endroit bien chaud aussi (je rappelle que nous étions au mois de janvier), planche sur laquelle j'avais eu le malheur de laisser un présentoir en bois fin chinois que mon grand-père avait rapporté d'Indochine, comme on disait à l'époque, à la fin du 19ème siècle. Sans vergogne, mon petit Venom a, d'un preste coup de patte, jeté à terre mon précieux présentoir pour s'installer à la place et l'a réduit en miette. Cela ne faisait pas plus de dix minutes qu'il était là. Je me suis dit que cela commençait bien mais je n'ai pas eu le cœur de le gronder, il était si vulnérable, si petit, si mignon… Les heures qui suivirent, furent beaucoup plus calmes mais il ne voulait plus me quitter, se blottissant contre moi et me suivant partout. Je crois que sa mère lui manquait ainsi qu'une autre jeune chatte abyssine qui était sa compagne dans l'élevage familial où il était né.

Chat Bombay Les jours suivants, notre petit Venom a continué ses investigations et, alors que je m'étais absentée, il a entrepris d'escalader les rayonnages de la bibliothèque, ce qui était peut-être très amusant mais notre petit alpiniste a fait tomber un bronze qu'il a reçu malencontreusement sur une patte ; lorsque je suis rentrée, le chaton courait partout sur trois pattes. Le vétérinaire a fait une radio a diagnostiqué une patte fêlée et l'a emmaillotée pour trois semaines dans un énorme pansement bleu roi. Mon pauvre petit Venom, cela ne l'empêchait pas de galoper dans l'appartement, les chats sont durs à la douleur.

Je me souviens aussi de la première sortie ; après avoir ouvert doucement la fenêtre et l'avoir glissé sur la terrasse, je l'ai laissé faire le tour du jardinet, respirer les odeurs inconnues, manger ces drôles de brins verts qui constituent la pelouse, faire mine de grimper à l'arbre… que de choses intéressantes ! Malheureusement, il n'est pas de paradis sans ombre et le chat des voisins s'est pointé : bagarre, cris, les deux chats ont « fait la roue » pour finalement se séparer sans trop de dommages ; la sortie s'est arrêtée là. D'autres mésaventures arriveront plus tard lors des sorties quotidiennes auxquelles j'ai habitué le petit Venom.

Le Bombay est champion en tant qu'animal de compagnie ; il aurait même tendance parfois à être un peu collant... (en comparaison avec une petite chatte de gouttière que j'ai eue pendant treize ans, que j'adorais mais qui était continuellement en vadrouille.) Son caractère est des plus pacifiques : les Bombay que je connais ne donnent jamais un coup de griffes, ne mordent pas, ne manifestent en aucune occasion leur colère excepté à l'encontre d'un congénère s'aventurant sur leur territoire.

Mon petit matou peut se révéler le plus câlin des chats, ne se lassant jamais de se rouler par terre, offrant en toute confiance son ventre à nos caresses ; « tout le monde, il est bon, tout le monde, il est gentil » !! Je crains qu'il ne soit pas très aguerri au monde qui nous entoure et je m'inquiète lorsqu'il pousse ses escapades un peu trop loin.

Heureusement, il n'est pas trop prédateur ; il a quand même fait tomber et cassé la cage à oiseaux de la gardienne chez qui il faisait un séjour et a tenté sans succès d'attraper ses poissons rouges ! Evidemment, c'était tentant. Je n'ai plus qu'à trouver une nouvelle « cat sitter ».

Il est paresseux, si bien que je peux faire la grasse matinée, alors que ma chatte de gouttière me réveillait tous les jours à six heures du matin. Avis aux amateurs ; tout dépend si vous avez besoin d'un réveille-matin efficace. De même, ce petit matou a fini par accepter de se promener en laisse sans me ficeler à un arbre ou entortiller la laisse de façon inextricable et nous pouvons faire ensemble de grandes balades. Les Bombay sont donc exceptionnels : non seulement, leur beauté est irrésistible mais ils savent bien s‘adapter à notre rythme de vie. Ce sont des chats vraiment très séduisants.

L'arrivée de Venom a apporté beaucoup de bonheur dans la maison, des inquiétudes lorsqu'il tardait à rentrer de ses petites escapades chez les voisins ou qu'il refusait de descendre d'un arbre, par peur ou simplement pour nous obliger à aller le chercher avec une grande échelle sous la pluie battante. En tous cas, la maison s'est animée d'une douceur de vivre, joie de vivre et jeunesse qui nous manquaient auparavant. Mais, il est si câlin que j'avais toujours de la peine à le laisser seul lorsque les activités de la vie m'appelaient au dehors. Il paraissait si vulnérable et sensible.

Le témoignage de Julie


Photo du Chat Bombay de CarolineMa petite chatte Bombay est une véritable Diane chasseresse ; à trois mois à peine, malgré sa taille très menue, elle a déjà commencé à ramener des petits souriceaux puis à attraper des lézards. Malgré sa cruauté envers ces petits animaux, elle se révèle très pacifique avec moi et une mère attentive envers ses chatons. Non seulement, elle faisait attention lorsqu'ils étaient tout petits à prendre une position de façon à ce que chacun (et ils sont cinq !) puisse téter mais maintenant qu'ils ont un mois, elle les surveille quand il leur prend de s'aventurer hors de leur caisse. Si l'un vient manger dans son écuelle, elle s'arrête de manger pour laisser le petit manger à sa place (alors que celui-ci a plein de croquettes dans sa propre écuelle mais c'est bien connu, c'est toujours meilleur dans l'assiette du voisin). .Les Bombay sont donc des chats très doux, sociables, très joueurs et faciles à vivre en appartement. Certains prétendent que c'est le chat le plus proche du chien.

A retenir pour les amateurs de chiens qui détestent les chats. A ce propos avez-vous remarqué que s'il est courant d'entendre des gens dire qu'ils sont allergiques aux chats ou même qu'ils ne les aiment pas, il est, par contre, très mal vu de déclarer ne pas aimer les chiens. Toujours est-il que ma chatte encore petite n'aimait rien de plus que de jouer avec moi ; lorsque je lui lançais sa petite souris en peluche, elle se précipitait pour la ramener dans sa gueule et la déposer à mes pieds et cela dix fois, vingt ou plus si vous en aviez la patience. Je n'avais jamais vu auparavant un chat faire cela.

Le témoignage de Nicole


J'ai une petite chatte toute noire qui ressemble comme deux gouttes d'eau à la photo de votre "bombay". Je l'ai appelée Ambre à cause de ses yeux ... ce n'est qu'une "petite" boule de tendresses qui ne me quitte jamais et qui parle toujours comme une petite fille qu'elle est. Mon seul problème est qu'elle est très gourmande et je n'arrive pas à lui tenir tête quand elle demande à manger !!!!
Après 17 années d'amour passées auprès de mon Shai I Sha, mort au mois de mai de cette année, je n'avais pas vraiment envie de souffrir à nouveau mais je n'ai pu me résoudre à la laisser à son sort et je l'ai prise avec moi.
Un seul regret : ne pas l'avoir eu avant qu'elle ne connaisse la tristesse d'être délaissée ...